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3 août 2006 4 03 /08 /août /2006 20:52

D'un cagnard saharien à un mistral te renvoyant la lumière des phares en plein visage, il n'a fallu que quelques heures. Le voileux du lac de la Belle Carpe, tout fier d'avoir tracté pendant des heures son 9m sur une autoroute saturée et malgré tout payante, le pauvre marin mènan il regrette son miroir. Il ne sait plus comme le choquer son foc, il a le vomi juste là sous la glotte et n'est plus tout à fait certain que son étrave pointe bien vers le port de Carqué.

Nous, ce basculement nous chope ce dernier matin de juillet vers 8h00 à la Piade. Faut dire que pendant toutes ces journées d'estubade, sans sommeil réparateur où même la sieste devient une épreuve, pendant ces trois semaines donc, le vélo vient moins nous tanner le cul. Même en s'arrachant aux aurores pétantes, 6h00, pour une sortie tranquille de trois heures sans difficultés majeures comme ils disent, le retour ressemble à une procession de cocottes minutes colorées. On est pas des intégristes, y en déjà assez.

Donc la Piade. Quesaco? Une trahison liquide et salée, une maîtresse enjôleuse qui jamais te bassine, un simple paradis qui délasse ton corps et pousse ta cervelle au pays des posters aux mers turquoises. Putain si c'est beau! Soit t'y descends pour nager, explorer, fouiner, sentir...soit pour grimper et te jouer la Pietragalla de la grotte, l'arapède de San Peyre.

Dans le premier cas, palmes...panoplie complète ou non. Si tu manques la grande grotte, joue pas aux boules, t'en choperas jamais une même à six mètres! Faufile toi dans la grottelette sur la droite, puis reviens par la fenêtre ouverte. Continue de te suivre les hirondelles jusqu'au fond. Voilà, mènan descends à 1,82m et ouvre les yeux. T'as rien vu, respire et replonge. Avance un peu gari. Allez va pas te néguer pour un blog idiot mais 6m devant toi, quand tu le sentiras, viens t'asseoir dans cette minuscule alcove sous le crossmed. Oh mais c'est pas fini! En ouvrant bien tes yeux masqués, cherche l'entrée de ce boyau où le grand Ulysse, le gonze à Pénélope Cruz, s'est planqué pendant des mois pour échapper à une demi douzaine de trafiquants de cigarettes en voulant à ses fesses. Enfonce toi dans ce couloir liquide jusqu'au rocher rose et poli lui. Ote tes palmes, grimpe et marche. Gaffe à la tronche, "la barre à gauche 3 degrés, réduis la vitesse.." L'eau te rafraichit les testicules, alors nage vers le halo bleuté. Alors, c'est pas beau, cette salle! Pas besoin de plèille stèchon ou d'une retouche d'image, jamais t'obtiendras ce bleu parfait. Comment repartir? 3 solutions valent mieux qu'une!  Par le syphon bleu, en 2 m c'est liquidé,en renageant sur tes palmes ou bien...si tes oreilles ne perçoivent aucune surpression ni aucun souffle marin puissant, si la nappe demeure étale, poursuis ton sentier liquide vers et suis lentement son tortueux dessin sans lever le menton, virage à gauche et hop retour au soleil. En cas de Mistral, shunte tout ce paragraphe et révise to vélo avec par exemple:

http://veloxygene.free.fr/vtt/mecanique/reglage_der_av.htm

 

Pour la grimpe, y a pas de mots sauf un: plaisir à tous les étages. Même un vieux fusible se régale! Comme il aurait encore pu danser ici le magnifique Patrick Berhault!

 Quel est le nom des trafiquants de tabac? Telle est la question. Réponse au prochain numéro

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30 juillet 2006 7 30 /07 /juillet /2006 20:28

Sans rire et sans parler, regarde bien la photoci-dessous et ne la repique pas sur ta bécane!

Une erreur s'est glissée!

Réponse sous enveloppe le jour du diplôme

Avant de terminer, hommage au chien des Pyrénnées pour avoir su cadrer merveilleusement tous ces mollets. A retenir la suivante immortalisant Otis.

Ciao collègues baille-coeurs, faites mèfi car le cagnard n'épargne personne!

Enfin de baille-coeur à cycliste, juste un tour de roue: le vélo au quotidien, si chacun s'y met, ce serait pas bonnard?

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30 juillet 2006 7 30 /07 /juillet /2006 18:35

 Qu'on l'attende, qu'on l'espère, qu'on la redoute ou qu'on la déteste, elle réussit toujours son effet de surprise et nous tombe dessus un beau matin comme s'abat la buse sur le mulot étourdi. Cette année encore, bingo! La châleur a pris ses quartiers et dès l'aube, les 25°C assomment le baille-coeur. Au fait, ce dernier change de canasson. Pourquoi? Ici, pratiquement pas de pluie depuis janvier, forêts fermées, normal si l'on veut réduire le désastre dans les pinèdes. Le VTT est remplace par l'étalon de route: toujours deux roues et des pédales. Pas d'ostracisme à la con, de maillots surchargés de boissons maléfiques, de compagnies d'assurance...

Seulement l'idée plantée en janvier d'un brevet des 100 km, a germé au printemps et une date est inscrite: le premier juillet. D'où cette formidable introduction! et impossible de reculer. Le bouche à bouche fonctionne bien dans le sud et une palanquée de petits jeunes se portent volontaires malgré ou à cause des recommandations de Narnja.

La boucle à tricoter: Le Pradet, La Crau, Pierrefeu, Col de Babaou, Bormes, la Londe et retour.

Narnja ne craint pas le chaud!

Déjà au point de rendez-vous, les trois nouveaux sont à la bourre! Vincent, le judoka de 90 kg, s'amène juste avant que je prenne la pigne, passe des coups de fil à ses potes qui prendront l'avion en route. Sur le parking de la Crau, dégun! 10 minutes à piaffer jusqu'à l'arrivée des rookies. Ils ont dû encore tiré sur l'élastique au lieu de bouffer des pâtes. Les gonzes se chargent d'un barda à tuer un âne: Ipod, 50 litres d'eau, 20 canettes de c'te merde sucrée...Les pneus s'esquichent mais les gaziers assurent: "c'est bon!"

Après vingt minutes, la balise Argos ne les repère même plus. Jean-Jacques, M.Narnja lui les retrouve au pied de Pierrefeu. Les autres qui prennent racine en haut poursuivent avec Isa et Marc, qui se joignent au peloton jusqu'à la route de Babaou à l'entrée de Collo. Vieux couple encore très vert mais plutôt du soir que du matin. Reconstitution du groupe et des forces et JJ continue son boulot de chien des Pyrénnées. Le pauvre. Enfin la montée sous les chataigniers!

Isa branche Pierrot

 

Judo, vélo, dodo

 

 

 

 

Marc et sa nouvelle Porsche

Certains (e) se prennent pour Bahamontes, ou Pantani et attaquent le col comme des dératés. Groupés pendant les parcours de liaison, à la pédale dans les côtes: consigne respectée. Narnja renvoie Lio à son tricycle et se permet de partir en quête des moins gaillards. Si le compte est bon, 3 montées à son actif: faudrait lui shunter les accus!

L'heure tourne et les brebis égarées ne se pointent toujours pas. Le goudron commence à fondre. Isa et Marc s'en retournent au lit et par tel nous informent du calvaire des deux jeunots. Le soleil tabasse déjà: les mollets agiles descendent sur Bormes, Lio et Rud "font la descente" seul point faiblard de Narnja. JJ attend encore  et prend au plus court par Gratte-Loup. 45' plus tard, le groupe se soude enfin maisles  Bouvard et Pecuchet du vélo sont rétamés, décalqués...ce putain de portable sort son argument massue "dans les cas..." et un papa complaisant et sympa vient les récupérer.

Retour à la queue leu leu vers le départ avec le scribe au bord du vomi: 60°C dans le casque. La glacière a bien accompli son boulot et les langues soudées depuis bien longtemps sur les palais, reprennent goût à la vie.

Diplômes distribués dès la rentrée

Tristesse car pas de photos de ces deux gaillards qui, malgré leurgros barda, ont poussé au delà de leurs limites. Si photos d'eux il y a, faudra les épingler

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29 juillet 2006 6 29 /07 /juillet /2006 15:45

Cette année l'hiver varois n'en finit plus. Les nordistes (après Aix) sourient quand nous prononçons le nom de la saison froide. Normal mais nous,  quand des -5°C agressent nos bouts de gands (de glands parfois) presque tous les matins pendant trois semaines, nous en venons à perdre notre calme et à engatser tous les saints histoire de leur rappeler leur boulot. Malgré le blizzard, les ours qui rodent et les meutes de loups, nous enfournons nos baille-queues et rejoignons notre terrain de jeux: Les Borrels. Christian a tronçonné son vélo au chalumeau depuis Cuers et les filles se réservent pour l'oreiller. Yannick lui s'est attelé comme une mule, à sa bétonnière pour deux ans et a mis son Commençal en vente. Pas toujours évident de concilier tout le pastis du quotidien.

http://membres.lycos.fr/saimmoi/Borrels.htm

 Les meilleures pêches du monde poussent dans cet eden.

'Tu comprends le coup, après je t'explique...' brave Elie. Là-bas, comme lors de l'escalade vers le volcan qui règne sur La Réunion,  les panneaux indiquent '1er Borrels', '2°Borrels' comme çà jusqu'à 77. Nous, nous varions les plaisirs en démarrant soit par la piste du Viet dans la vallée de Sauvebonne, soit par celle de Chamadoux dans cette même vallée à droite en roulant vers Pierrefeu soit plus fréquemment par le Crapa des Borrels et la piste de la Besse des Comtes de Pierreeu sûrement..

Cette dernière solution présente l'avantage de faire chauffer les diesels avant de pousser à gauche: pour les vieux fusibles, gros intérêt! Pas trop besoin de carte, enfin pas nécessaire de la sortir tous les 10m car une fois sur la crête, la mer, les iles d'Or et en hiver pas de brume pour les planquer: La Medde se pointe juste là devant ta roue, tout ce panorama donc guide même le nouveau venu. Les possibilités sont multiples mais là les chances de bonheur frôlent le 100%. Pourquoi gari? Pistes pour l'échauffement, la récup ou la griserie d'une descente peins pots, drailles à sangliers au milieu du thym et des genêts du printemps. Passages techniques sur les caillasses comme dans cette calade plein nord partant de la citerne, franchissements de ruisseaux souvent secs mais parfois meutriers, sous-bois humides voire froids. Du crapa, possible de rejoindre Collobrière et plus loin encore sans pratiquement jamais poser les roues sur du goudron. Céder à la tentation d'une amorce de sentiers même si parfois un rebrousse poils s'impose, un bon plan pour une immersion dans la nature.

Quand les jambes, les bras et le reste retrouvent de la niaque, c'est que l'heure de la Piste des Sangliers de la Maurin des Maures a sonné. Nous, chaque année, nous nous y collons et le plaisir reste intact même si nous familiarisons presque avec chaque arbre, même si nous n'optons pas forcément tous pour la même boucle. Des tronçons communs permettent à Pierrot, Lionel et Philippe de se fracasser sur le 50 km et à moi d'accompagner mon pitchoun sur le 20 km tout en se retrouvant de temps en temps au détour d'un chemin.

 Petit déj, anchoîade, rosé...et surtout que de gentillesse de la part de tous ces bénévoles qui se les gèlent parfois pour nous!

Va voir un coup gonze,

http://lapistedessangliers.com/

http://www.la-maurin-des-maures.com/

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28 juillet 2006 5 28 /07 /juillet /2006 10:49

Aix sans la Sainte Victoire c'est comme Boule sans Bill, Perette sans son pot de lait ou Cuers sans ses Barres.

Hélas, Paulo chargé de ses pinceaux n'a pas poussé plus au sud sa quête et ces pauvres Barres varoises ne se sont pas retrouvées épinglées sur un mur immense et vierge d'un duplex de New-York ou Genève. Alors ces barres quésaco? Imagine un horizon exhaussé de trois cents mètres, planté d'est en ouest depuis les cabanons des hauts de Belgentier jusqu'au col de la Bigue. Le calcaire règne en seigneur et fournit un espoir de neige l'hiver aux minots du coin fracasse les yeux si tu oses le regarder en face en plein été.Voilà pourquoi une rando à vtt là-haut se marie bien avec les derniers matins froids de l'hiver.

http://sam-randonnees.monsite.wanadoo.fr/page4.html

La troupe se retrouve sur le parking près du crématorium vers 10h du mat. Les nanas sont occupées ce week-end mais Yannick, Christophe et Christian (catégorie: jeunes loups) tapent l'incruste pour le plus grand plaisir du noyau "dur". Coup d'oeil curieux des rookies sur le matos des collègues! Pas de regards jaloux chez tous ces baille-coeurs, pas d'attitude arrogante comme parfois sur la ligne de départ du Roc! Bonnard! Christian, nouveau venu dans le Var, pressent que sa fourche rigide risque de se montrer agressive envers ses muscles. Il ne se trompe pas.

Par le Pas de Redon qui réchauffe les gambettes, direction la grande rocade vers Brignoles délaissée sur la droite en faveurd' une piste montant régulièrement plein nord. Pas de cassure dans la compagnie jusqu'au premier raidillon où le petit plateau se met à l'oeuvre. Cap à l'ouest vers la bergerie et deux lacets caillouteux qui la dominent. Premier arrêt por reprendre le souffle, boire une gorgée et échanger quelques aliments énergétiques. Soyons honnêtes! A cet endroit précis, les barres nous surplombent et nous n'en franchirons pas la porte. Baille-coeurs pas randonneurs ce jour_là. Au delà du casse-croute commence une traversée rapide, parfois technique pour peu qu'une draille nous sorte du chemin et nous oblige à lever le cul de la selle. Toulon et sa banlieue s'agitent en bas dans ces embouteillages chroniques, facile de les imaginer surtout un samedi alors que là règnent les rigaous et les herbes du barbecue. Tu parles de boucan! Le rémouleur déboucherait là tirant sa cariole, qu'il ne nous étonnerait même pas. Descente au milieu d'éboulis au dessus de Belgentier: les nouveaux varois découvrent les plaisirs de la caillasse. Un cabanier gionesque au milieu de ses cultures en restanques d'époque nous rappele le chemin de Valcros et Philippe fait exploser son cardi-truc sur une montée où la corde à noeuds s'imposerait. Le calvaire de Christian se poursuit le pauvre, d'autant que les vélos empruntent à présent une enfilade de descentes taillées dans le roc. Il paraîtrait que ce travail de sappe a été accompli par les esclaves du grand Jules, pas le Toulonnais mais celui de Cléo. Que le lecteur érudit qui se braque ces lignes nous apporte sa science s'il le veut bien, les baille-coeurs seraient moins couillons. Finalement Valcros se présente comme un dessert comme une bonne glace après un repas trop lourd! Fontaine non potable, dommage pour les bidons déjà vidés. Remontée sur les hauts de Cuers puis plongée en file indienne sous les pins jusqu'au vieux village. Ruelles étroites et alors que chacun pense retrouver la douceur de sa caisse, vla ti pas que Christophe (billot-homme du vtt et cuersois) nous impose la montée vers la table d'orientation. "Comme une cigarette qui prie" les vélos se hissent jusqu'à la chapelle. Pour certains que les crampes taraudent,  résignation malgré l'aide de la Bonne Mère planquée dans cette jolie cahute.

Un bol de Provence authentique à deux pas du stade Mayol.

Difficultés techniques: XXxxx

Difficultés physiques: XXXxx

690m+

 

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27 juillet 2006 4 27 /07 /juillet /2006 13:46

Le 23/12/2006 c'est donc ce jour là que Sandra choisit pour nous entraîner sur les chemins entourant son bled. Ah oui, il faudrait peut-être préciser que nos exploits de baille-coeur, se déroulent dans le sud de la France au pays des santons comme le fredonnerait l'Hugues. Les caillasses, la poussière, les épines, la résine et le sable, voilà les ingrédients principaux réservés à nos montures. Pour cette première, Sandra nous guide sur les pistes de St Cyr dans le Var.

 

 Deux mots sur le matos du groupe: des x-country pour tous, suspendus tous au moins de l'avant. Certains sont bien amortis puisque datant de l'ancien milliénaire et d'autres portant tous les améliorations techniques du moment ( freins à disque... ) 

Départ en direction des crêtes surplombant la baie de St Cyr vers 10 heures. 10°C au thermomètre et un mistral violent. Petit échauffement à travers les lotissements jouxtant l'autoroute, puis causeries matinales tout en longeant de magnifiques propriétés belles comme des sous neufs. Enfin le caoutchouc attaque son plat préféré: la terre ocre. Le groupe s'étire doucement comme une couleuvre au soleil au rythme des acoups du terrain. Tchi tchan tchi tchan le peloton atteint une "arête" offrant un large panorama vers le nord. Difficile de s'interpeller, de se chambrer car le mistral s'amplifie encore au point d'avoir beaucoup à tenir en selle. On insiste mais on doit tirer des bords! On est pas des voileux et Sandra décide après un bref conciliabule de remettre le cap au sud vers la mer. Descente plein pot, au passage Philippe dompte un cabot qui nous course d'un coup de saton sur la truffe. Demi heure après, on se retrouve sur le sentier du littoral qui file de St Cyr à Bandol. Changement de décor groupe en file indienne sur des passages techniques alternant des raidillons  à te faire péter le cardiofréquencemètre et des descentes te refilant la maladie de Parkinson. Pour Sandra et les jeunes loups c'est juste un apéro, pour les autres, déjà un gentil plat de résistance. En parlant de bouffe on casse la croûte au bord de l'eau dans la calanque du Port d' Alon. Echange de barres de céréales contre du saucisson... Nouveau départ et toujours les mêmes difficultés accentuées par le refroidissement des muscles. Paysage grandiose comme ce sous-marin qui fera jamais de mal à dégun.        

 Passage au bord d'un terrain de golf désertique et déplacé pour notre région assoiffée. Le soleil décline déjà, le froid attaque le bout des doigts et des oreilles, les jambes répondent de plus en plus mal! Sandra et les jeunes loups ne semblent pas ressentirles effets de ce Mistral à décorner les boeufs. Oui mais, ils sont pas idiots ces petits jeunes et prennent bien, façon de parler, la température du groupe. En trois coups de cuillères à pot, ils retrouvent le parking où un gros lard plein de boisson sucrée tourne sur une moto pas plus haute qu'une borne kilométrique. A regretter les plaintes du Mistral.

Difficultés techniques: XXxxx

Difficultés physiques: XXxxx

 A l'an qué vin

 

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26 juillet 2006 3 26 /07 /juillet /2006 15:42
Depuis pas mal de temps, on en parlait. Le lundi surtout, à la cantine pardon au restaurant scolaire ou encore chez Denis au moment du café.
T'es sorti hier? Qu'est ce t'as fait? T'as roulé dimanche? T'en as bavé?
Bref une palanquée de questions clichés permettant de débuter la semaine avec le vélo.
Vire tourne, il a fallu attendre la fin de décembre 2006 pour pédaler ensemble.

Finalement, nous avons choisi le dernier week-end avant le Père Noël 2006 .
Le "nous" en question juste là au dessus se compose d'une belle bouillabaisse mixte :
deux ou trois nanas, une jeunette débutant dans le métier mais pas sur un vélo,
deux quadrettes encore bien fringantes au guidon,
de jeunes loups tant dans le boulot que sur la selle d'un vtt,
quelques quinquas récents, faut bien des fusibles sur une installation!!!
                                                                   
                                                                       Vé la brochette de départ!

                                                  Sandra, Clément, Lio, Laurent, Philippe, Pierrot,  Isa

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